Lois sur les semences en Afrique : Un tapis rouge pour les sociétés privées par GRAIN | 8 Jul 2005 Seedling - July 2005 Si nous considérons l’état des lois sur les semences en Afrique, nous voyons des gouvernements poursuivre un projet qui aurait tout aussi bien pu être conçu à Wall Street. Les anciens systèmes ont pu être erronés, mais au moins leur priorité était d’améliorer la qualité des semences pour les agriculteurs. Les lois actuelles sur les semences sont toutes faites de manière à dérouler un tapis rouge pour l’industrie multinationale des semences - une industrie dominée par quelques entreprises de pesticides qui ne s’occupent strictement que de quelques cultures et variétés GM. Ces entreprises ne produisent pas de semences répondant aux besoins des petits agriculteurs africains et ne peuvent par conséquent jouer qu’un rôle limité. Si nous considérons l’état des lois sur les semences en Afrique, nous voyons des gouvernements poursuivre un projet qui aurait tout aussi bien pu être conçu à Wall Street. Les anciens systèmes ont pu être erronés, mais au moins leur priorité était d’améliorer la qualité des semences pour les agriculteurs. Les lois actuelles sur les semences sont toutes faites de manière à dérouler un tapis rouge pour l’industrie multinationale des semences - une industrie dominée par quelques entreprises de pesticides qui ne s’occupent strictement que de quelques cultures et variétés GM. Ces entreprises ne produisent pas de semences répondant aux besoins des petits agriculteurs africains et ne peuvent par conséquent jouer qu’un rôle limité.
L'USAID : comment faire pour que le monde ait faim de cultures génétiquement modifiées par GRAIN | 7 Jul 2005 Cet article traite de la manière dont les Etats-unis utilisent l'USAID pour faire la promotion active de l'agriculture génétiquement modifiée. Il s'intéresse en particulier aux principaux programmes développés par l'USAID en matière de biotechnologie agricole et aux régions où ces programmes sont les plus actifs en Afrique et en Asie. Ces programmes de l'USAID font partie d'une stratégie menée sur plusieurs fronts visant à faire avancer les intérêts des Etats-unis pour les cultures génétiquement modifiées. Le gouvernement américain a de plus en plus recours à des traités bilatéraux et multilatéraux de libre-échange et à une pression diplomatique à un haut niveau pour pousser les pays à adopter de nombreux éléments clé des réglementations favorables aux multinationales concernant les cultures génétiquement modifiées. Et cette pression extérieure a été très efficacement complétée par un lobby et un financement apportés par les réseaux biotech de l'USAID aux niveaux national et régional. Cet article traite de la manière dont les Etats-unis utilisent l'USAID pour faire la promotion active de l'agriculture génétiquement modifiée. Il s'intéresse en particulier aux principaux programmes développés par l'USAID en matière de biotechnologie agricole et aux régions où ces programmes sont les plus actifs en Afrique et en Asie. Ces programmes de l'USAID font partie d'une stratégie menée sur plusieurs fronts visant à faire avancer les intérêts des Etats-unis pour les cultures génétiquement modifiées. Le gouvernement américain a de plus en plus recours à des traités bilatéraux et multilatéraux de libre-échange et à une pression diplomatique à un haut niveau pour pousser les pays à adopter de nombreux éléments clé des réglementations favorables aux multinationales concernant les cultures génétiquement modifiées. Et cette pression extérieure a été très efficacement complétée par un lobby et un financement apportés par les réseaux biotech de l'USAID aux niveaux national et régional.
Amérique latine: la litanie de la privatisation par GRAIN | 4 Jul 2005 Seedling - July 2005 De nouvelles lois sur les semences sont en train d’être introduites partout en Amérique Latine. Alors que l’intervention des gouvernements dans les mécanismes du marché continuent de faiblir dans la région, les états ont mis en place des lois très strictes en matière de législation sur les semences. Ces lois varient considérablement d’un pays à l’autre,mais elles ont toutes un point commun, celui d’apporter une meilleure protection aux variétés de semences développées par les compagnies privées et d’écarter complètement les semences produites par les agriculteurs. Dans de nombreux cas, les semences produites par les agriculteurs sont, ou seront, considérées comme illégales. De nouvelles lois sur les semences sont en train d’être introduites partout en Amérique Latine. Alors que l’intervention des gouvernements dans les mécanismes du marché continuent de faiblir dans la région, les états ont mis en place des lois très strictes en matière de législation sur les semences. Ces lois varient considérablement d’un pays à l’autre,mais elles ont toutes un point commun, celui d’apporter une meilleure protection aux variétés de semences développées par les compagnies privées et d’écarter complètement les semences produites par les agriculteurs. Dans de nombreux cas, les semences produites par les agriculteurs sont, ou seront, considérées comme illégales.
Face à la contamination: cinq raisons de rejeter la coexistence par GRAIN | 25 Jun 2005 Cliquez ici pour lire tout l'article Cliquez ici pour lire tout l'article
Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) dans l 'agriculture : Enjeux et Etat des lieux en Afrique de l'Ouest (Suite et fin) par Organisations paysannes du Mali | 25 Mai 2005 Communication faite pour les organisations paysannes du Mali, à la rencontre de " la fibre africaine ", organisée par la coalition pour la protection du patrimoine génétique malien et le Forum pour l 'Autre Mali. Bamako, du 28 février au 5 mars 2005. (Suite et fin) Communication faite pour les organisations paysannes du Mali, à la rencontre de " la fibre africaine ", organisée par la coalition pour la protection du patrimoine génétique malien et le Forum pour l 'Autre Mali. Bamako, du 28 février au 5 mars 2005. (Suite et fin)
Souveraineté alimentaire: un bouleversement du système alimentaire mondial par GRAIN | 29 Avr 2005 Seedling - April 2005 La souveraineté alimentaire est une alternative solide à la pensée dominante actuelle concernant la production alimentaire. La lutte pour la souveraineté alimentaire recouvre une grande diversité de questions comme la réforme foncière, le contrôle des territoires, les marchés locaux, la biodiversité, l'autonomie, la coopération, la dette, la santé, et de nombreuses autres questions d'une importance cruciale si on veut pouvoir produire l'alimentation localement. La souveraineté alimentaire est une alternative solide à la pensée dominante actuelle concernant la production alimentaire. La lutte pour la souveraineté alimentaire recouvre une grande diversité de questions comme la réforme foncière, le contrôle des territoires, les marchés locaux, la biodiversité, l'autonomie, la coopération, la dette, la santé, et de nombreuses autres questions d'une importance cruciale si on veut pouvoir produire l'alimentation localement.
Resituer la question des bénéfices tirés de la biodiversité par GRAIN | 27 Avr 2005 Seedling - April 2005 En 2004, les membres de la Convention sur la diversité biologique ont commencé à négocier un “ régime international d’accès aux ressources génétiques et de partage des bénéfices ”. Beaucoup de gouvernements de pays en développement voient ce processus avec beaucoup d’enthousiasme. Ils en parlent comme d’un moyen de mettre fin à la biopiraterie et de réaliser enfin le “partage juste et équitable des bénéfices” dérivés de la biodiversité, depuis longtemps promis par la Convention sur la diversité biologique. En réalité, le régime aura très peu à voir avec le partage des bénéfices, et encore moins avec un partage juste et équitable. La priorité restera ce qu’elle a toujours été dans les discussions de la Convention sur la diversité biologique: elle sera donnée à l’accès aux gènes pour la recherche et la commercialisation, et sur l’établissement d’un prix pour cet accès. Le seul nouvel élément susceptible de se concrétiser dans ce régime est une certaine forme de mise en vigueur internationale pour des législations nationales sur l’accès, sans doute par un système de certificat prouvant qu’une ressource génétique a été acquise légalement. En 2004, les membres de la Convention sur la diversité biologique ont commencé à négocier un “ régime international d’accès aux ressources génétiques et de partage des bénéfices ”. Beaucoup de gouvernements de pays en développement voient ce processus avec beaucoup d’enthousiasme. Ils en parlent comme d’un moyen de mettre fin à la biopiraterie et de réaliser enfin le “partage juste et équitable des bénéfices” dérivés de la biodiversité, depuis longtemps promis par la Convention sur la diversité biologique. En réalité, le régime aura très peu à voir avec le partage des bénéfices, et encore moins avec un partage juste et équitable. La priorité restera ce qu’elle a toujours été dans les discussions de la Convention sur la diversité biologique: elle sera donnée à l’accès aux gènes pour la recherche et la commercialisation, et sur l’établissement d’un prix pour cet accès. Le seul nouvel élément susceptible de se concrétiser dans ce régime est une certaine forme de mise en vigueur internationale pour des législations nationales sur l’accès, sans doute par un système de certificat prouvant qu’une ressource génétique a été acquise légalement.
Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) dans l 'agriculture : Enjeux et Etat des lieux en Afrique de l'Ouest par Organisations paysannes du Mali | 25 Avr 2005 Communication faite pour les organisations paysannes du Mali, à la rencontre de " la fibre africaine ", organisée par la coalition pour la protection du patrimoine génétique malien et le Forum pour l 'Autre Mali. Bamako, du 28 février au 5 mars 2005. Communication faite pour les organisations paysannes du Mali, à la rencontre de " la fibre africaine ", organisée par la coalition pour la protection du patrimoine génétique malien et le Forum pour l 'Autre Mali. Bamako, du 28 février au 5 mars 2005.
Régions sans OGM : du moratoire européen aux moratoires régionaux ? par Thierry Raffin, Inf'OGM, Bulletin N°52 | 22 Mar 2005
Témoignage de Ibrahima Coulibaly, gestionnaire des relations extérieures à l'Association des organisations professionnelles paysannes du Mali, devant le Comité Sénatorial Permanent des Affaires Étrangères par | 22 Mar 2005
Les Organismes Génétiquement Modifiés - quels risques pour le Mali ? par Mamadi TOUNKARA | 4 Mar 2005 Les Organismes Génétiquement Modifiés sont au centre des débats depuis quelques années en Afrique et même dans le monde. Dans notre continent, le sujet est d 'actualité, tandis que certains paysans souhaitent l 'introduction de ces cultures, la grande majorité de nos paysans se méfient beaucoup et y voient « venir une nouvelle forme de colonisation pour les pays du Nord ». Nous avons mené une enquête sur les OGM, ses avantages et inconvénients pour l 'Afrique, les risques liés aux plantes... Les Organismes Génétiquement Modifiés sont au centre des débats depuis quelques années en Afrique et même dans le monde. Dans notre continent, le sujet est d 'actualité, tandis que certains paysans souhaitent l 'introduction de ces cultures, la grande majorité de nos paysans se méfient beaucoup et y voient « venir une nouvelle forme de colonisation pour les pays du Nord ». Nous avons mené une enquête sur les OGM, ses avantages et inconvénients pour l 'Afrique, les risques liés aux plantes...
Le Programme alimentaire mondial et l'aide alimentaire génétiquement modifiée au Soudan et en Angola par African Center for Biosafety | 22 Fév 2005 Au cours de l’année 2004, des ONG d’Afrique ont fait part de leur inquiétude pour le non respect par le Programme alimentaire mondial (PAM) du droit de l’Angola et du Soudan de choisir, d’accepter, ou de refuser l’aide alimentaire génétiquement modifiée. Pourtant, le PAM a le devoir de respecter leur choix. Au cours de l’année 2004, des ONG d’Afrique ont fait part de leur inquiétude pour le non respect par le Programme alimentaire mondial (PAM) du droit de l’Angola et du Soudan de choisir, d’accepter, ou de refuser l’aide alimentaire génétiquement modifiée. Pourtant, le PAM a le devoir de respecter leur choix.
Les connaissances traditionnelles a la croisée des OGM, de la biodiversité et du commerce en Afrique francophone par GRAIN | 16 Jan 2005 Cette communication a été présentée aux 9 èmes Journées Scientifiques du « Réseau Biotechnologies végétales : amélioration des plantes et sécurité alimentaire » de l’Agence Universitaire de la Francophonie, en Octobre 2004 à Lomé (Togo) Cette communication a été présentée aux 9 èmes Journées Scientifiques du « Réseau Biotechnologies végétales : amélioration des plantes et sécurité alimentaire » de l’Agence Universitaire de la Francophonie, en Octobre 2004 à Lomé (Togo)
Production cotonnière africaine - Campagne 2004 - 2005 par Dagris | 12 Jan 2005 Dagris, le groupe français qui contrôle la plupart des filières de coton de l'Afrique, souligne que les ravageurs ne posent pas de sérieux problèmes cetta année. Selon Dagris, "La pression parasitaire est demeurée faible. L'action des ravageurs ne devr Dagris, le groupe français qui contrôle la plupart des filières de coton de l'Afrique, souligne que les ravageurs ne posent pas de sérieux problèmes cetta année. Selon Dagris, "La pression parasitaire est demeurée faible. L'action des ravageurs ne devr
L'Afrique doit-elle en prendre de la graine ? par Charlotte Cans, Jeune Afrique - L'Intelligent | 26 Déc 2004