Autres publications

Cette rubrique consiste en une liste de publications et de documents qui ne relèvent d’aucune autre catégorie. Elle contient entre autres des publications écrites par GRAIN pour d’autres organisations, les résultats de recherches communes et de projets d’écriture avec d’autres partenaires.

Les investissements et les initiatives de conservation à grande échelle portent atteinte aux forêts et aux territoires des peuples

La croissance et l’industrialisation rapides de l’Asie sont en train de coûter très cher aux communautés locales, à leur environnement et à leur économie. Dans toute la région, le ‘développement’ se caractérise par l’investissement à grande échelle, au cœur duquel se trouvent le contrôle et l’exploitation des sols, des forêts, de l’eau, de la nature, des minéraux et de la main-d’œuvre. Un article de GRAIN et Focus on the Global South dans le dernier numéro du Bulletin du Mouvement Mondial pour les Forêts.

La croissance et l’industrialisation rapides de l’Asie sont en train de coûter très cher aux communautés locales, à leur environnement et à leur économie. Dans toute la région, le ‘développement’ se caractérise par l’investissement à grande échelle, au cœur duquel se trouvent le contrôle et l’exploitation des sols, des forêts, de l’eau, de la nature, des minéraux et de la main-d’œuvre. Un article de GRAIN et Focus on the Global South dans le dernier numéro du Bulletin du Mouvement Mondial pour les Forêts.

GRAIN en 2016 : un aperçu de nos activités

En 2016, le monde s’est retrouvé confronté à de nombreux défis redoutables. Les grandes entreprises ont poursuivi leurs manœuvres contre les systèmes alimentaires locaux, le contrôle des paysans sur les semences, les terres paysannes et les territoires autochtones. Les communautés et les activistes qui défendent leurs terres et leurs moyens de subsistance ont continué à le faire à leurs risques et périls et ont souvent dû faire face à une répression brutale, voire mortelle. Mais les mouvements populaires tiennent bon. En étroite collaboration avec nos partenaires dans les régions et au niveau international, GRAIN s’est efforcé de soutenir tous ces efforts par son travail de recherche et d’information, par la communication et le renforcement des alliances et des capacités. Ce rapport présente les grands points de l’année et expose les défis qui nous attendent.

En 2016, le monde s’est retrouvé confronté à de nombreux défis redoutables. Les grandes entreprises ont poursuivi leurs manœuvres contre les systèmes alimentaires locaux, le contrôle des paysans sur les semences, les terres paysannes et les territoires autochtones. Les communautés et les activistes qui défendent leurs terres et leurs moyens de subsistance ont continué à le faire à leurs risques et périls et ont souvent dû faire face à une répression brutale, voire mortelle. Mais les mouvements populaires tiennent bon. En étroite collaboration avec nos partenaires dans les régions et au niveau international, GRAIN s’est efforcé de soutenir tous ces efforts par son travail de recherche et d’information, par la communication et le renforcement des alliances et des capacités. Ce rapport présente les grands points de l’année et expose les défis qui nous attendent.

Bulletin Nyéléni: les ALE et l'agriculture

La dernière édition de la lettre d'information Nyeleni est au sujet des soit disant accords de libre échange et de l'agriculture. GRAIN et bilaterals.org ont participé à réaliser cette édition. Il y est analysé les principaux traités de libre échange ainsi que les actions de résistance, comprenant de nombreux témoignages des luttes à travers le monde.

La dernière édition de la lettre d'information Nyeleni est au sujet des soit disant accords de libre échange et de l'agriculture. GRAIN et bilaterals.org ont participé à réaliser cette édition. Il y est analysé les principaux traités de libre échange ainsi que les actions de résistance, comprenant de nombreux témoignages des luttes à travers le monde.

Le Forum de Davos 2017 réaffirme une vision de l’avenir de l’agriculture qui est celle des grandes entreprises

Les grandes entreprises essaient d’assurer leurs bénéfices dans une agriculture mondialisée, porteuse d’enjeux importants. Mais contrairement aux agriculteurs, les entreprises alimentaires et agricoles mondiales disposent de multiples ressources qui leur servent de filet de sécurité face aux risques inhérents à l’agriculture. L’une de ces ressources est le Forum économique mondial (WEF en anglais) dont le rôle est crucial quand il s’agit d’aider les grandes entreprises à maintenir ou à augmenter leurs marges de profits.

Les grandes entreprises essaient d’assurer leurs bénéfices dans une agriculture mondialisée, porteuse d’enjeux importants. Mais contrairement aux agriculteurs, les entreprises alimentaires et agricoles mondiales disposent de multiples ressources qui leur servent de filet de sécurité face aux risques inhérents à l’agriculture. L’une de ces ressources est le Forum économique mondial (WEF en anglais) dont le rôle est crucial quand il s’agit d’aider les grandes entreprises à maintenir ou à augmenter leurs marges de profits.

Les traités de commerce risquent d’enlever aux agriculteurs la gestion de la biodiversité des semences

La sélection et l’entretien intelligents des graines les plus adaptées à un site déterminé sont au cœur de l’agriculture paysanne et des systèmes agro-sylvicoles. La biodiversité de centaines de milliers de variétés agricoles et de races animales que l’on trouve dans les champs des paysans du monde entier en a découlé, et constitue la pierre angulaire du système alimentaire mondial. Les agriculteurs paysans et les variétés locales qu’ils ont développées nourrissent encore aujourd’hui la majorité d’entre nous. En revanche, l’agriculture industrielle dominée par un petit nombre de sociétés transnationales a radicalement réduit la variété des produits agricoles cultivés. En plus, elle n’a pas tardé à empiéter sur les terres dont les paysans dépendent pour produire des aliments et sur leur accès à la diversité de semences qui constitue la base de l’agriculture paysanne et des systèmes agro-sylvicoles.

La sélection et l’entretien intelligents des graines les plus adaptées à un site déterminé sont au cœur de l’agriculture paysanne et des systèmes agro-sylvicoles. La biodiversité de centaines de milliers de variétés agricoles et de races animales que l’on trouve dans les champs des paysans du monde entier en a découlé, et constitue la pierre angulaire du système alimentaire mondial. Les agriculteurs paysans et les variétés locales qu’ils ont développées nourrissent encore aujourd’hui la majorité d’entre nous. En revanche, l’agriculture industrielle dominée par un petit nombre de sociétés transnationales a radicalement réduit la variété des produits agricoles cultivés. En plus, elle n’a pas tardé à empiéter sur les terres dont les paysans dépendent pour produire des aliments et sur leur accès à la diversité de semences qui constitue la base de l’agriculture paysanne et des systèmes agro-sylvicoles.

BD : Ensemble nous pouvons refroidir la planète !

Sur la base de la vidéo Ensemble nous pouvons refroidir la planète ! co-produite en 2015 par La Vía Campesina et GRAIN, nous avons créé une BD destinée à soutenir les activités de formation des mouvements sociaux et des organisations de la société civile en matière de changement climatique. Cette BD se penche sur les impacts du système alimentaire industriel sur notre climat et explique ce que nous pouvons faire pour renverser la vapeur et commencer à refroidir la planète. Nous le disons haut et fort : ce sont les agriculteurs et les petits paysans qui, avec les consommateurs, détiennent le remède à la crise climatique. Nous devons tous relever le défi !

Sur la base de la vidéo Ensemble nous pouvons refroidir la planète ! co-produite en 2015 par La Vía Campesina et GRAIN, nous avons créé une BD destinée à soutenir les activités de formation des mouvements sociaux et des organisations de la société civile en matière de changement climatique. Cette BD se penche sur les impacts du système alimentaire industriel sur notre climat et explique ce que nous pouvons faire pour renverser la vapeur et commencer à refroidir la planète. Nous le disons haut et fort : ce sont les agriculteurs et les petits paysans qui, avec les consommateurs, détiennent le remède à la crise climatique. Nous devons tous relever le défi !

COP22 à Marrakech : Le royaume du business

L’Afrique sera à l’honneur lors de cette Conférence des Parties sur les Changements climatiques (COP 22) à Marrakech entendons nous dire un peu partout. C’est une COP africaine insiste-t-on du côté du Comité marocain de pilotage de la COP. Un Pavillon Afrique sera dressé et son animation  sera assurée par la Banque Africaine de Développement (BAD), le Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) et la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique(CEA), dont l’un des rôles est d’appuyer la mise en place d’un environnement favorable au développement du secteur financier, à l’esprit d’entreprise et aux activités du secteur privé. Ainsi donc, au niveau global comme au niveau africain, ce sont les banques et les entreprises qui capturent le débat sur le changement climatique. Celles-là même qui, par leur recherche effrénée du profit avant tout, sont les principales responsables du réchauffement climatique.

L’Afrique sera à l’honneur lors de cette Conférence des Parties sur les Changements climatiques (COP 22) à Marrakech entendons nous dire un peu partout. C’est une COP africaine insiste-t-on du côté du Comité marocain de pilotage de la COP. Un Pavillon Afrique sera dressé et son animation  sera assurée par la Banque Africaine de Développement (BAD), le Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) et la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique(CEA), dont l’un des rôles est d’appuyer la mise en place d’un environnement favorable au développement du secteur financier, à l’esprit d’entreprise et aux activités du secteur privé. Ainsi donc, au niveau global comme au niveau africain, ce sont les banques et les entreprises qui capturent le débat sur le changement climatique. Celles-là même qui, par leur recherche effrénée du profit avant tout, sont les principales responsables du réchauffement climatique.

L’agrobusiness, un pas de plus vers la dépendance alimentaire

Dans le village de Yalifombo, en République Démocratique du Congo (RDC), le long du fleuve Congo, se trouvait une communauté essentiellement agricultrice. Dans ce village il a été donné de voir comment l’économie locale qui tournait autour du travail du palmier à huile traditionnel s’est effondré suite à la montée en puissance des plantations industrielles. Dans toute la sous-région, que ce soit à Mundemba (Cameroun) ou Mboma (Gabon), on observe cette concurrence grandissante de l’agro-industrie face aux économies agricoles locales. Le modèle aujourd’hui encouragé par certaines Politiques publiques, l’agrobusiness est en train de détruire les systèmes qui ont depuis de longues années constituer une réussite pour les paysans.

Dans le village de Yalifombo, en République Démocratique du Congo (RDC), le long du fleuve Congo, se trouvait une communauté essentiellement agricultrice. Dans ce village il a été donné de voir comment l’économie locale qui tournait autour du travail du palmier à huile traditionnel s’est effondré suite à la montée en puissance des plantations industrielles. Dans toute la sous-région, que ce soit à Mundemba (Cameroun) ou Mboma (Gabon), on observe cette concurrence grandissante de l’agro-industrie face aux économies agricoles locales. Le modèle aujourd’hui encouragé par certaines Politiques publiques, l’agrobusiness est en train de détruire les systèmes qui ont depuis de longues années constituer une réussite pour les paysans.

RDC : des communautés se mobilisent pour se libérer d’un siècle de plantations coloniales de palmiers à huile

Quand les Européens envahirent l’Afrique centrale et occidentale au dix-neuvième siècle, ils comprirent (de façon très étroite) que la culture des palmiers à huile pouvait être une source de richesses. Ils commencèrent à s’emparer des bosquets de palmiers de la population locale et à arracher les forêts pour y faire des plantations. L’un des pionniers fut le Britannique Lord Leverhulme qui, en semant la terreur chez les habitants, les réduisit en esclavage pour transformer en plantations de vastes étendues de la forêt congolaise. Les plantations de palmiers à huile de son entreprise allaient finir par s’étendre sur l’Afrique centrale et occidentale, puis en Asie du Sud-Est, et poser les bases d’une des plus grandes entreprises alimentaires du monde, la multinationale Unilever. 

Quand les Européens envahirent l’Afrique centrale et occidentale au dix-neuvième siècle, ils comprirent (de façon très étroite) que la culture des palmiers à huile pouvait être une source de richesses. Ils commencèrent à s’emparer des bosquets de palmiers de la population locale et à arracher les forêts pour y faire des plantations. L’un des pionniers fut le Britannique Lord Leverhulme qui, en semant la terreur chez les habitants, les réduisit en esclavage pour transformer en plantations de vastes étendues de la forêt congolaise. Les plantations de palmiers à huile de son entreprise allaient finir par s’étendre sur l’Afrique centrale et occidentale, puis en Asie du Sud-Est, et poser les bases d’une des plus grandes entreprises alimentaires du monde, la multinationale Unilever. 

Les liens offshore entre ADM et Wilmar, le grand maître du crime environnemental

Les « Panama Papers » ont réussi à attirer l’attention du monde entier sur les paradis fiscaux. Si les premières histoires concernaient surtout les hommes politiques, les regards se tournent tout doucement vers les grandes entreprises, qui sont de loin les plus grands utilisateurs des paradis fiscaux. Il semblerait qu’à elles seules, les 50 plus grosses entreprises américaines aient caché près de 1 400 milliards de dollars US dans ces paradis. Des entreprises alimentaires comme Archer Daniel Midlands (ADM) et Wilmar exploitent très largement les structures offshore.

Les « Panama Papers » ont réussi à attirer l’attention du monde entier sur les paradis fiscaux. Si les premières histoires concernaient surtout les hommes politiques, les regards se tournent tout doucement vers les grandes entreprises, qui sont de loin les plus grands utilisateurs des paradis fiscaux. Il semblerait qu’à elles seules, les 50 plus grosses entreprises américaines aient caché près de 1 400 milliards de dollars US dans ces paradis. Des entreprises alimentaires comme Archer Daniel Midlands (ADM) et Wilmar exploitent très largement les structures offshore.

GRAIN en 2015 : un aperçu de nos activités

2015 a été une année très prolifique pour GRAIN. Nous avons publié un grand nombre de bases de données et de rapports marquants qui sont devenus des points de référence pour beaucoup de groupes et de particuliers qui travaillent sur les questions de terres, d'alimentation et de climat—y compris des gens qui ne sont pas d'accord avec nous. Dans le même temps, nous avons travaillé avec nos partenaires sur le terrain, soutenu leurs efforts pour renforcer leurs capacités et définir des stratégies ; nous avons également aidé à mobiliser la solidarité internationale pour leurs causes. Nous pensons que c'est justement cette combinaison d'information sérieuse, de soutien direct et de collaboration avec les partenaires qui est la clé de notre succès. 

2015 a été une année très prolifique pour GRAIN. Nous avons publié un grand nombre de bases de données et de rapports marquants qui sont devenus des points de référence pour beaucoup de groupes et de particuliers qui travaillent sur les questions de terres, d'alimentation et de climat—y compris des gens qui ne sont pas d'accord avec nous. Dans le même temps, nous avons travaillé avec nos partenaires sur le terrain, soutenu leurs efforts pour renforcer leurs capacités et définir des stratégies ; nous avons également aidé à mobiliser la solidarité internationale pour leurs causes. Nous pensons que c'est justement cette combinaison d'information sérieuse, de soutien direct et de collaboration avec les partenaires qui est la clé de notre succès. 

Déclaration de Mundemba et déclaration de solidarité avec les communautés du Cameroun

Nous sommes 40 participants assemblés à Mundemba, au Cameroun, pour un atelier international sur les tactiques et stratégies des entreprises de palmiers à huile, atelier organisé du 28 au 31 janvier 2016. Nous sommes venus du Cameroun, d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, d’Asie et d’Amérique du Sud, pour partager notre vécu, et pour essayer de comprendre ce que vivent les communautés locales du département de Ndian, dans la région du Sud-Ouest au Cameroun. Nous partageons les préoccupations des communautés locales devant l’intérêt croissant des grandes entreprises pour les terres communautaires qu’elles veulent convertir en plantations de palmiers à huile.

Nous sommes 40 participants assemblés à Mundemba, au Cameroun, pour un atelier international sur les tactiques et stratégies des entreprises de palmiers à huile, atelier organisé du 28 au 31 janvier 2016. Nous sommes venus du Cameroun, d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, d’Asie et d’Amérique du Sud, pour partager notre vécu, et pour essayer de comprendre ce que vivent les communautés locales du département de Ndian, dans la région du Sud-Ouest au Cameroun. Nous partageons les préoccupations des communautés locales devant l’intérêt croissant des grandes entreprises pour les terres communautaires qu’elles veulent convertir en plantations de palmiers à huile.

Caravane Ouest Africaine : Droit à l'eau et à la terre, une lutte commune, 3-19 mars 2016

En Afrique de l’Ouest, plus de 70% de la population dépend de l'agriculture familiale paysanne qui nourrit les pays à plus de 80%. L'accès sécurisé et le contrôle par les communautés de la terre, l'eau, les semences paysannes et toutes les ressources naturelles sont donc des facteurs vitaux. Ils doivent être respectés et protégés en tant que droits, car c’est la condition de la réalisation de nos droits humains : droit à une alimentation adéquate et à la nutrition, droit à l'eau et à l'assainissement, droit à la santé, droit à la culture, droit au logement, droit au travail et droit à la libre-détermination des peuples.

En Afrique de l’Ouest, plus de 70% de la population dépend de l'agriculture familiale paysanne qui nourrit les pays à plus de 80%. L'accès sécurisé et le contrôle par les communautés de la terre, l'eau, les semences paysannes et toutes les ressources naturelles sont donc des facteurs vitaux. Ils doivent être respectés et protégés en tant que droits, car c’est la condition de la réalisation de nos droits humains : droit à une alimentation adéquate et à la nutrition, droit à l'eau et à l'assainissement, droit à la santé, droit à la culture, droit au logement, droit au travail et droit à la libre-détermination des peuples.

Le niébé et le sorgho : nouvelle frontière dans l'expansion de l’agro-industrie

Après le coton génétiquement modifié (GM), c'est le tour des aliments GM de faire leur entrée en Afrique de l'Ouest. Actuellement, les cibles des multinationales en Afrique sont le niébé et le sorgho, deux plantes alimentaires les plus cultivées dans les régions semi-arides et arides. Ces cultures sont moins exigeantes en eau, et tolèrent la pauvreté des sols. De ce fait, elles sont mieux adaptées aux modifications actuelles des conditions climatiques, et elles contribuent de façon significative à la souveraineté alimentaire.

Après le coton génétiquement modifié (GM), c'est le tour des aliments GM de faire leur entrée en Afrique de l'Ouest. Actuellement, les cibles des multinationales en Afrique sont le niébé et le sorgho, deux plantes alimentaires les plus cultivées dans les régions semi-arides et arides. Ces cultures sont moins exigeantes en eau, et tolèrent la pauvreté des sols. De ce fait, elles sont mieux adaptées aux modifications actuelles des conditions climatiques, et elles contribuent de façon significative à la souveraineté alimentaire.

À propos des organismes génétiquement modifiés (disponible en langues locales africaines)

Un organisme génétiquement modifié (OGM) est un animal, une plante ou un micro organisme (par exemple une bactérie), auquel l’homme a ajouté ou retiré au laboratoire un gène, afin qu’il exprime un caractère donné qu’il n’avait pas avant. L’exemple le plus proche de nous est le coton Bt. C’est un coton génétiquement modifié pour que la plante produise son propre insecticide pour se protéger.

Un organisme génétiquement modifié (OGM) est un animal, une plante ou un micro organisme (par exemple une bactérie), auquel l’homme a ajouté ou retiré au laboratoire un gène, afin qu’il exprime un caractère donné qu’il n’avait pas avant. L’exemple le plus proche de nous est le coton Bt. C’est un coton génétiquement modifié pour que la plante produise son propre insecticide pour se protéger.