semences & biodiversité

La guerre des semences

Révoltez-vous pour défendre notre métier et votre alimentation ! Les semences paysannes et fermières sont l'un des éléments-clés de l'autonomie des paysans et des citoyens. Les stocks de semences industrielles ne s'adaptent ni à la météo, ni aux urgences contrairement aux semences qui sont directement disponibles sur la ferme. Ces dernières assurent ainsi notre sécurité alimentaire !

Révoltez-vous pour défendre notre métier et votre alimentation ! Les semences paysannes et fermières sont l'un des éléments-clés de l'autonomie des paysans et des citoyens. Les stocks de semences industrielles ne s'adaptent ni à la météo, ni aux urgences contrairement aux semences qui sont directement disponibles sur la ferme. Ces dernières assurent ainsi notre sécurité alimentaire !

Droits de propriété intellectuelle et communs

Réalisée par le Réseau Semences Paysannes et Inf'OGM, la nouvelle brochure "Droits de Propriété intellectuelle et communs" (100 p.), est issue de la formation éponyme du RSP qui s'est tenue en février 2013.

Réalisée par le Réseau Semences Paysannes et Inf'OGM, la nouvelle brochure "Droits de Propriété intellectuelle et communs" (100 p.), est issue de la formation éponyme du RSP qui s'est tenue en février 2013.

Une menace pour les oiseaux et les vers de terre autant que pour les abeilles

Des produits phytosanitaires parmi les plus utilisés dans le monde ont des effets néfastes sur la biodiversité qui ne se limitent pas aux abeilles, mais nuisent aussi aux papillons, vers de terre, oiseaux et poissons, selon une évaluation scientifique internationale.

Des produits phytosanitaires parmi les plus utilisés dans le monde ont des effets néfastes sur la biodiversité qui ne se limitent pas aux abeilles, mais nuisent aussi aux papillons, vers de terre, oiseaux et poissons, selon une évaluation scientifique internationale.

"La guerre des graines" c'est mardi 27 mai sur France 5 !

Une guerre souterraine ... et silencieuse Les graines sont le premier maillon de notre alimentation. Mais dans un avenir très proche, les agriculteurs n'auront peut être plus le droit de ressemer leur propres graines. En Europe, une loi tente de contrôler l'utilisation des semences agricoles... Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers qui contrôlent déjà la moitié du marché des graines et cherchent à étendre leur privatisation. Les graines sont-elles une marchandise ou un bien commun de l’humanité au même titre que l’eau ou l’air ?  

Une guerre souterraine ... et silencieuse Les graines sont le premier maillon de notre alimentation. Mais dans un avenir très proche, les agriculteurs n'auront peut être plus le droit de ressemer leur propres graines. En Europe, une loi tente de contrôler l'utilisation des semences agricoles... Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers qui contrôlent déjà la moitié du marché des graines et cherchent à étendre leur privatisation. Les graines sont-elles une marchandise ou un bien commun de l’humanité au même titre que l’eau ou l’air ?  

Le Chili célèbre le triomphe contre la Loi Monsanto et l’Accord UPOV

Le retrait de la loi Monsanto sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux sont célébrées par les citoyens chiliens qui se mobilisent activement en défense de la production agro-écologique et de la culture familiale paysanne.

Le retrait de la loi Monsanto sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux sont célébrées par les citoyens chiliens qui se mobilisent activement en défense de la production agro-écologique et de la culture familiale paysanne.

Déclaration de Djimini 2014

Lors de la 4ème édition de la foire ouest-africaine des semences paysannes tenue à Djimini, au Sénégal du 11 au 13 Mars 2014, 300 participants, représentant 54 délégations du Bénin, du Burkina Faso, de la Gambie, du Niger, du Mali, du Togo, du Sénégal, de la Guinée, de l’Inde, de l’Europe et du Canada se sont réunies pour promouvoir les semences paysannes.

Lors de la 4ème édition de la foire ouest-africaine des semences paysannes tenue à Djimini, au Sénégal du 11 au 13 Mars 2014, 300 participants, représentant 54 délégations du Bénin, du Burkina Faso, de la Gambie, du Niger, du Mali, du Togo, du Sénégal, de la Guinée, de l’Inde, de l’Europe et du Canada se sont réunies pour promouvoir les semences paysannes.

Le Parlement européen rejette en bloc le règlement semences

650 voix contre 15 : c’est le résultat du vote du 11 mars du Parlement européen, au sujet du « règlement semences » proposé par la Commission européenne. Pour les uns, joli camouflet adressé à une Commission en fin de mandat, pour les autres, craintes des parlementaires d’aborder un dossier trop politique à deux mois des élections européennes.

650 voix contre 15 : c’est le résultat du vote du 11 mars du Parlement européen, au sujet du « règlement semences » proposé par la Commission européenne. Pour les uns, joli camouflet adressé à une Commission en fin de mandat, pour les autres, craintes des parlementaires d’aborder un dossier trop politique à deux mois des élections européennes.

Vigilance au Bénin

A l'expiration de deux moratoires successifs de cinq ans, pris par le gouvernement du Bénin respectivement en 2002 et en 2008, le Bénin se trouve aujourd'hui dans un vide juridique par rapport aux organismes génétiquement modifiés (OGM).

A l'expiration de deux moratoires successifs de cinq ans, pris par le gouvernement du Bénin respectivement en 2002 et en 2008, le Bénin se trouve aujourd'hui dans un vide juridique par rapport aux organismes génétiquement modifiés (OGM).

Mobilisation pour défendre les droits des paysan-nes

POUR les droits des paysan-nnes d’utiliser et d’échanger librement leurs semences et leurs animaux reproducteurs, et d’accéder sans restrictions à l’ensemble de la diversité cultivée disponible ; CONTRE les brevets sur le vivant et le contrôle du marché des semences par les multinationales.

POUR les droits des paysan-nnes d’utiliser et d’échanger librement leurs semences et leurs animaux reproducteurs, et d’accéder sans restrictions à l’ensemble de la diversité cultivée disponible ; CONTRE les brevets sur le vivant et le contrôle du marché des semences par les multinationales.

La loi sur la protection des varietes ameliorees des plantes de l'ARIPO criminalise les droits des agriculteurs et bouleverse les systèmes semenciers en Afrique

L'Alliance pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique (ASAA) est gravement préoccupée par un projet de loi élaboré sous les auspices de l'Organisation Régionale Africaine de la Propriété Intellectuelle (ARIPO), portant sur un cadre juridique régional harmonisé pour la protection du droit des sélectionneurs de plantes , intitulé «Projet de politique régionale et cadre juridique pour la protection des variétés améliorées de plantes "

L'Alliance pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique (ASAA) est gravement préoccupée par un projet de loi élaboré sous les auspices de l'Organisation Régionale Africaine de la Propriété Intellectuelle (ARIPO), portant sur un cadre juridique régional harmonisé pour la protection du droit des sélectionneurs de plantes , intitulé «Projet de politique régionale et cadre juridique pour la protection des variétés améliorées de plantes "

' Non ! l’Afrique n’a pas besoin des OGM '

Après deux décennies de passe d’armes entre Pro et Contre – OGM, nous pensions avoir fini avec les arguments maintenant éculés qui présentent les OGM comme solution aux problèmes de la faim et du changement climatique en Afrique, arguments auxquels les producteurs agricoles et les consommateurs de plus en plus avisés, ont désormais tourné le dos sur le continent africain.

Après deux décennies de passe d’armes entre Pro et Contre – OGM, nous pensions avoir fini avec les arguments maintenant éculés qui présentent les OGM comme solution aux problèmes de la faim et du changement climatique en Afrique, arguments auxquels les producteurs agricoles et les consommateurs de plus en plus avisés, ont désormais tourné le dos sur le continent africain.

Les semences de la colère

Paysans expulsés, pollution des sols, déforestation, empoisonnements... : quel poids pèsent les dégâts sociaux et environnementaux face aux profits générés par la monoculture intensive du soja génétiquement modifié ?

Paysans expulsés, pollution des sols, déforestation, empoisonnements... : quel poids pèsent les dégâts sociaux et environnementaux face aux profits générés par la monoculture intensive du soja génétiquement modifié ?

Au Burkina Faso, le coton OGM s’enracine dans la polémique

Le coton Bt continue de diviser. Des paysans dénoncent le coût de la semence (27 000 francs CFA pour un hectare contre 814 pour le coton conventionnel), non compensé par l’élimination de quatre traitements. Le risque économique est d’autant plus grand que les aléas pluviométriques obligent souvent à semer deux fois, alors que la hausse des rendements de 30%, annoncée lors des essais en laboratoire, ne s’est jamais vérifiée sur le terrain.

Le coton Bt continue de diviser. Des paysans dénoncent le coût de la semence (27 000 francs CFA pour un hectare contre 814 pour le coton conventionnel), non compensé par l’élimination de quatre traitements. Le risque économique est d’autant plus grand que les aléas pluviométriques obligent souvent à semer deux fois, alors que la hausse des rendements de 30%, annoncée lors des essais en laboratoire, ne s’est jamais vérifiée sur le terrain.